vendredi 1 avril 2011

Le tableau blanc interactif : une invention géniale!


De plus en plus, le tableau blanc interactif fait jaser, quoique cet outil soit encore peu connu. En fait, plus on en entend parler, plus nous sommes curieux et voulons apprendre davantage à ce sujet. Justement, j’ai lu l’article Le tableau blanc interactif en classe de français, publié dans la cent soixantième revue Québec français, à la page 73. Je vais donc vous résumer le contenu, qui se fait insistant sur son utilisation dans les écoles.
Le tableau blanc interactif est le nouvel outil sur le marché qui pourrait remplacer le tableau et la craie poussiéreuse. Ce nouveau tableau permet de contrôler un ordinateur à l’aide d’un crayon spécial qui possède les mêmes fonctions qu’une souris, mais qui est directement utilisé sur le tableau blanc. Le TBI (tableau blanc interactif) offre donc la possibilité d’afficher le contenu d’un ordinateur sur grand écran, en plus de pouvoir apporter des modifications rapidement. Le TBI est alors un outil fort utile dans l’enseignement et l’apprentissage, autant pour agir comme support dans l’écriture, la lecture la communication orale ou l’appréciation de lecture.
Pour l’écriture, on conseille par exemple de l’utiliser pour modifier des textes déjà existants, écrire un texte collectivement, rédiger des phrases pour travailler la grammaire, corriger une dictée, etc. Il peut aussi être intéressant d’utiliser le tableau blanc pour montrer des méthodes de correction efficaces avec un système de codes et de couleurs. Et bien sûr, toutes ces activités sont interactives et réduisent le nombre de photocopies fournies aux élèves.
En lecture, puisque tous les élèves ont la même vue d’ensemble au tableau (comparativement à une feuille chaque), il semble plus facile pour les enseignants d’enseigner des stratégies de lecture comme le repérage, l’organisation d’un texte, sélection d’informations importantes, création d’un résumé, etc. Les possibilités sont illimitées et rapides.
En communication orale, c’est le fait d’avoir un support visuel pendant la présentation qui rend l’exposé plus dynamique et interactif. L’élève peut y intégrer des images, des graphiques, des vidéos et des plans de présentation, ce qui aide à la communication et ce qui enrichit davantage la culture des autres élèves.
Bref, cet éventail d’idées n’est pas exhaustif parce que la société québécoise commence tout juste à développer de nouvelles stratégies applicables dans une classe. Alors, si vous avez d’autres suggestions, n’hésitez pas à me les partager. Visitez ce lien pour consulter une vidéo présentant des opportunités à appliquer avec le TBI.

1 commentaire:

  1. Comme outil d'enseignement, l'usage du TBI est prometteur. Ceux qui l'utilisent déjà voient la motivation de leurs élèves augmenter.

    La question qu'il faut se poser est: "Les élèves vont-ils apprendre plus?". Personnellement je me demande s'il ne serait pas plus avantageux d'investir sur l'achat de portables.

    Je suis content de voir que tu t'intéresses à ce nouvel outil.

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